Notre équipe
C’est l’aboutissement d’une promesse d’adolescents.
Celle que se sont fait Paul-Emmanuel et Anis, à l’aube de leur majorité : un jour, ils ouvriraient un restaurant ensemble.
Quinze ans plus tard et après plusieurs mois de travaux, Dahlia est sur le point d’éclore. Un restaurant aux saveurs méditerranéennes, avec les idées culinaires d’Anis et l’accueil de Paul-Emmanuel.
Notre histoire
Chez Anis, les fourneaux prennent souvent l’odeur du Levant. Cardamome, cannelle, anis étoilé… ses papilles sont rapidement en éveil. D’un père Jordanien, bien manger a toujours fait partie du quotidien de celui que tout le monde appelle « Nini ».
« Quand j’ai fait ma formation, je me suis rendu compte que ma mamie faisait les mêmes recettes que je retrouvais dans mon livre de cuisine » se souvient il. Il se forme d’abord aux côtés de Thierry Marx, grâce à qui il gravit les échelons au sein des cuisines du palace parisien Le Mandarin Oriental. C’est là qu’il apprend, reproduit, s’inspire et se perfectionne.
Au cours de ses voyages, Paul-Emmanuel ou « Polem » pour les intimes, s’initie au métier de serveur. Son sourire naturel et son sens de l’humour font de lui le meilleur chef de salle que vous ayez jamais vu.
Le duo de trentenaires compte bien faire de l’expérience culinaire un tout. Et pour ça, la passion de la bonne musique de Paul-Emmanuel tombe à pic.
Créer une « affaire entre potes » ça leur trottait en tête depuis longtemps. C’est d’ailleurs autour de la cuisine que Paul-Emmanuel et Anis ont tissé les liens forts qui les unissent aujourd’hui. Lorsqu’ils sont étudiants, ils prennent rapidement la casquette de « responsables alimentation » quand les soirées entre amis sont organisées.
Alors ce restau, c’est quoi ? Une cuisine méditerranéenne de saison, avec des propositions végétariennes et végans pour le plaisir des papilles de tous. Anis, aux fourneaux, a le souci de proposer des cartes de saison, pensées avec le plus grand soin.
Son truc à lui, c’est les légumes « il y a mille façons de les cuisiner, mille textures ».
Lorsqu’il cuisine, le trentenaire retrouve « une joie exubérante de l’enfance ». Cet éternel insatisfait déploie toujours beaucoup d’énergie pour tenter d’obtenir les meilleures associations possibles. Il glisse déjà le nom d’un gâteau typique que vous pourrez retrouver sur la carte : le Kunéfé.
En résumé, Dahlia, c’est l’alliance entre un cuistot acharné et un chef de salle solaire, pour vous transporter le temps d’un repas. Un duo soudé, cette « famille choisie » comme le décrit Polem.
Un lien indestructible qui leur a permis de passer plusieurs mois dans la poussière. Avant l’ouverture, il a fallu se confronter à un chantier qui a occupé les deux amis tous les jours, parfois jusque dans leurs rêves la nuit.
Tout a été imaginé et réalisé à leur image, sur mesure, pour une expérience unique.